vendredi 21 novembre 2014

"Les infanticides néonataux en Europe doivent être condamnés" Gregor Puppinck (eclj.org)


Infanticides néonataux:
 le Bureau de l'Assemblée du Conseil de l'Europe rejette la pétition
                 (Gregor Puppink Octobre 2015) - 7

L’avortement tardif et les infanticides néonataux en Europe
             (Gregor Puppink Juin 2015) - 6

Succès d'une pétition contre l'infanticide post-natal
             (Gregor Puppink le 4 dec 2014) - 4

Témoignage d'une Sage-femme (par Gregor puppink sur "Libertépolitique")
             "Avortement tardif et infanticide" - 3

Interview de Gregor Puppink sur "Boulvard Voltaire"
"Ces enfants naissent vivants, l’Europe doit les protéger !" - 2

Aller à l'entretient avec Gregor puppinck (25 janv 2015) - 1

Pour aller plus loin - 5

Intervention de Gregor puppinck à la "MarchePourLaVie" (25 janv 2015)*



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 le Bureau de l'Assemblée du Conseil de l'Europe rejette la pétition

Vendredi 2 octobre 2015, alors que la pétition contre les infanticides néonataux atteignait 224 000 signatures, le Bureau de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe a rejeté à la majorité la pétition, estimant qu’enquêter et débattre sur ce sujet serait politiquement inopportun. Le Bureau a suivi l’avis de la Commission juridique qui avait considéré la pétition « trop sensible » politiquement et susceptible de « diviser » l’Assemblée.

Il s’agit donc d’un sujet trop sensible pour être débattu !

Cette triste décision du Bureau révèle à quel point l’avortement tardif et l’infanticide néonatal sont des tabous au sein de notre société qui préfère fermer les yeux sur ces pratiques inhumaines plutôt que de prendre le risque de mettre en cause l’eugénisme. Ces infanticides ont parfois une cause aussi minime qu’un bec de lièvre.

La pétition - la plus importante dans les annales du Conseil de l’Europe - a apporté la preuve que chaque année, en Europe, des enfants naissent vivants et parfois viables, lors d'avortements tardifs, qu’ils sont souvent abandonnés à la mort sans soins, ou tués après leur naissance en violation des droits fondamentaux garantis, en théorie, à toute personne « dès la naissance ». La pétition a aussi présenté les preuves scientifiques que les fœtus ressentent la douleur dès le deuxième trimestre de gestation.

L’ECLJ continuera de porter la défense des droits des nouveau-nés au sein des institutions européennes et nationales. Des députés nous ont dit vouloir réintroduire ce sujet au Conseil de l’Europe en 2016, lorsque les circonstances politiques y seront plus favorables.

Cette campagne n’est donc pas terminée, elle a déjà permis d’exposer au grand jour ces pratiques inhumaines et de sensibiliser un grand nombre de personnes. Un travail de fond a été initié, permettant la réunion d’informations et de nombreux et précieux témoignages de médecins et de sages-femmes.

Nous vous remercions sincèrement pour votre soutien et vous assurons une nouvelle fois de notre détermination pour mener ce combat pour la reconnaissance des droits de tous les nouveau-nés !







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Lettre de Gregor Puppinck au Conseil de l'Europe lors de la remise de la pétition (22 Janv 2015)
Plein écranici

Lettre de réception de la pétition par le conseil de l'Europe (24 Avril 2015)












(source: eclj.org )

A lire aussi:
Le défi de la reconnaissance des droits de l'homme en Europe ( Pape François - 25 nov 2014)
Nouveaux-nés handicapés : des dérives eugénistes en France ? (20 nov 2014)
(Laurence Henry, Jean Vanier et Philippe de Roux)
Le 19 novembre, veille de la journée internationale des droits de l’enfant, le Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe a fait savoir qu’il estime que la pratique de l’infanticide néonatal ne relève pas de sa compétence et refuse de rencontrer des ONG désireuses de l’informer à ce sujet. En juillet 2014, le Comité des Ministres ne parvenait pas à se prononcer sur ce même sujet.

Par un courrier du 1er novembre, quatre organisations non gouvernementales (le Bureau international catholique de l'enfance, l’Union mondiale des organisations féminines catholiques, la Fédération des associations familiales catholiques en Europe et le Centre européen pour le droit et la justice) ont demandé à M. Nils Muižnieks, le Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, de le rencontrer pour lui remettre un dossier exposant le sort des enfants nés vivants après un avortement
Plein écranici

Chaque année en effet, de nombreux enfants naissent vivants lors d’avortements, en particulier quand ils sont pratiqués au-delà de la 20ème semaine de grossesse. Ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques.

Ces faits sont attestés par des données officielles et des témoignages de sages femmes. Une étude publiée dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology a conclu qu'à 23 semaines de gestation, le taux d’enfants survivant à l’avortement atteint 10%.

Laisser des enfants agoniser sans soins, ou les tuer, simplement parce qu'ils ne sont pas désirés, est inhumain. C’est pourquoi, ces ONG voulaient rencontrer le Commissaire aux droits de l’homme pour lui demander de réaffirmer que tous les êtres humains-nés vivant, ont le même droit à la vie et aux soins de santé, sans discrimination fondée sur les circonstances de leur naissance, conformément aux droits de l’homme.

Mais le Commissaire a refusé de recevoir ces ONG, estimant que sa compétence « ne couvre pas les questions soulevées ». Pourtant, le 15 janvier 2014, il avait pris position publiquement contreles avortements sélectifs en fonction du sexe, demandant leur interdiction pénale.



En outre, la Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant, dont on célèbre le 25ème anniversaire, rappelle que« l’enfant, en raison de son manque de maturité physique et intellectuelle, a besoin d’une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d’une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance ».

Déjà, saisi par un député de cette violation des droits fondamentaux, le Comité des Ministres du Conseil de l'Europe, qui réunit les gouvernements des 47 Etats membres, n’avait pas réussi, en juillet dernier, à trouver un accord sur les mesures à prendre « pour garantir que des fœtus qui survivent à un avortement ne soient pas privés des soins médicaux auxquels ils ont droit (en leur qualité de personnes vivantes au moment de leur naissance) en vertu de la Convention européenne des droits de l’homme ». Certains gouvernements, par crainte de remettre en cause l’avortement tardif, refusaient de reconnaître publiquement que ces nouveau-nés ont des droits.
Plein écranici

Le refus du Commissaire aux droits de l’homme et l’incapacité duComité des Ministres à affirmer que tous les nouveau-nés ont le droit à la vie et aux soins de santé est une honte et manifeste un consentement tacite à l’infanticide et aux traitements inhumains.

Reste encore l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe qui pourrait peut-être avoir le courage d’affronter ce sujet et de suppléer aux manquements du Commissaire et du Comité des Ministres.

A cette fin, l’ECLJ va saisir officiellement l’Assemblée parlementaire, conformément à la procédure de pétition prévue à l’article 65 du règlement de l’Assemblée. Cette procédure permet à tout citoyen de demander au Président et au Bureau de l’Assemblée d’inscrire un sujet à l’ordre du jour.

Afin de donner du poids à cette demande auprès de l’Assemblée, l’ECLJ invite toute personne à s’associer à cette Pétition. Nous vous demandons de vous joindre à notre Pétition parce qu’il y a un besoin urgent de dénoncer ces infanticides et d’y mettre fin.









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"Ces enfants naissent vivants, l’Europe doit les protéger !"

21 novembre 2014







source: BoulvardVoltaire

Grégor Puppinck est docteur en droit et directeur du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ). Il s’apprête à saisir l’Assemblée parlementaire et lance une pétition pour l’obliger à assurer une protection aux enfants nés vivants à la suite d’un avortement.

Vous allez saisir l’Assemblée parlementaire au sujet de l’infanticide néonatal. Pourquoi ?

Cette saisie est l’aboutissement d’une lutte qui dure depuis des mois et de plusieurs scandales relayés par la presse européenne mais peu par la presse française.

L’Angleterre avait été secouée en découvrant que 60 enfants avaient survécu à un avortement tardif avant d’être laissés à l’abandon.

En Norvège, le gouvernement a même adopté une loi pour limiter le recours à l’avortement au-delà du seuil de viabilité après la découverte de cas similaires, grâce au témoignage d’une sage-femme.

En Italie, un scandale avait éclaté après qu’un prêtre était venu prier auprès d’un de ces enfants le lendemain de l’avortement et l’avait découvert encore vivant…

Chaque année, de nombreux enfants naissent vivants lors d’avortements, en particulier quand ils sont pratiqués au-delà de la 20e semaine de grossesse. Ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques.

Alors, un député espagnol, Ángel Pintado, s’est saisi du problème et a posé une question à ce sujet au comité des ministres du Conseil de l’Europe, qui réunit les gouvernements des 47 États membres.

Que leur a-t-il alors demandé ?

La Cour européenne des droits de l’homme garantit le respect de la vie à partir de la naissance seulement, mais les enfants en question naissent bien vivants. Le député a donc demandé au comité des ministres ce que l’Europe comptait faire pour protéger ces enfants qui ont droit au respect de leur vie, de leur intégrité physique et aux soins de santé normalement garantis par la Convention européenne des droits de l’homme.

La question a provoqué de très nombreux débats au sein du comité des ministres.

De nombreux gouvernements ont soutenu le député et appelé à protéger ces nouveau-nés, sans discrimination fondée sur les circonstances de la naissance, conformément aux droits de l’homme.

Certains de ces gouvernements ont même encouragé l’ensemble des pays à tenir compte du seuil de viabilité dans leurs lois respectives sur l’avortement.

Pourquoi cela n’a-t-il donc pas abouti à des mesures de protection pour ces enfants ?

Parce que toute décision du comité des ministres doit être prise par consensus ; or, un petit nombre s’y est opposé. Au bout de six mois, le comité a donc répondu qu’il n’était pas capable de trouver un consensus…

C’est à partir de ce moment-là que vous avez engagé les procédures ?

Effectivement, le 1er novembre dernier, le Centre européen pour le droit et la justice, le Bureau international catholique de l’enfance, l’Union mondiale des organisations féminines catholiques et la Fédération des associations familiales catholiques en Europe ont demandé à M. Nils Muižnieks, le Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, de le rencontrer pour lui remettre un dossier exposant le sort de ces enfants.

Il s’était opposé à l’avortement sélectif selon le sexe – le « féminicide » – en janvier dernier, nous étions donc assez confiants.

Mais après nous avoir fait tourner en rond pendant quelques jours, le Commissaire aux droits de l’homme nous a fait savoir le 19 novembre qu’il estimait que la situation de ces enfants ne relevait pas de sa compétence et qu’il n’y avait donc pas lieu de nous rencontrer…

Comment expliquez-vous ces comportements en face d’une situation objectivement dramatique ?

Le sujet est tabou, on touche à la question de l’avortement et de l’infanticide eugéniste et certains gouvernements craignent de remettre en cause l’avortement tardif en reconnaissant les droits de ces nouveau-nés.

J’ai récemment échangé avec une avocate parisienne qui travaille sur le sujet et qui me confiait qu’en France, certains enfants handicapés sont tués encore après leur naissance, au motif que l’avortement est possible jusqu’au terme en cas de malformation…

Nous touchons des questions délicates que personne n’a trop envie de remuer.

C’est donc pour cela que vous saisissez désormais l’Assemblée parlementaire…?

Ce commissaire a refusé très indélicatement de répondre à quatre ONG reconnues pour la qualité de leur travail dans le monde, il ne reste donc que cette option : demander cette fois aux parlementaires d’oser se confronter à ce sujet.

Nous travaillons directement avec des députés mais nous avons lancé une pétition pour peser lors de cette requête. Seuls, nous avons toutes les chances d’être refusés. Á plus de 100.000, les choses sont différentes…

Il faut mettre à jour cette pratique répandue de l’infanticide néonatal.

Nous ne pouvons accepter que dans un même hôpital tous les efforts possibles soient faits pour réanimer un enfant prématuré de 22 semaines pendant que, quelques mètres plus loin, un petit de 26 semaines est laissé à l’agonie sous prétexte qu’il n’aurait pas été désiré… C’est inhumain.

Entretien réalisé par Charlotte d’Ornellas

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Infanticide néonatal : une pratique inhumaine qui doit être condamnée

Alors qu’une pétition contre l’infanticide est lancée auprès du Conseil de l’Europe, une sage-femme raconte comment elle a dû pratiquer des avortements tardifs.

LORSQU'UN ENFANT naît grand prématuré, tout est mis en œuvre pour le sauver. Si ce n’est pas possible, il reçoit des soins de confort et est entouré jusqu’à son décès. Des soins palliatifs néonatals se développent ainsi dans les hôpitaux.

Toute autre est la situation de ceux qui naissent vivants après un avortement. Chaque année, de nombreux enfants naissent vivants lors d’avortements, en particulier quand ils sont pratiqués au-delà de la 20e semaine de grossesse. Ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques.

Pour dénoncer et mettre fin à ces pratiques, l’ECLJ a lancé une pétition à l’attention de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. 60.000 personnes l’ont déjà signée.

Ces faits sont attestés par des données officielles et des témoignages de sages femmes. Une étude publiée dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology a conclu qu'à 23 semaines de gestation, le taux d’enfants survivant à l’avortement atteint 10%.
Un témoignage accablant

Cela pose aussi problème au personnel médical. Voici un témoignage reçu d’une sage-femme suédoise :

« Bonjour.
J’ai travaillé pendant 36 ans comme sage-femme en maternité et soins obstétricaux. En ce moment, une réorganisation à la clinique des femmes est en cours, ce qui signifie que les avortements tardifs après 12 semaines seront effectués à la maternité. J’ai, au cours de ma carrière professionnelle, travaillé à la fois en gynécologie et en soins de maternité. Par conséquent, j’ai des souvenirs horribles de la salle de gynécologie où j’ai participé à des avortements tardifs, la plupart autour de 16 semaines, où le fœtus luttait et essayait de respirer pendant 5 à 15 minutes.
Parce qu’il n’y a pas de règles ou de règlements sur ce qu’il faut faire avec un nourrisson qui se bat pour la vie, vous le laissez mourir seul dans un bol ou une bassine.
Je pense que c’est horriblement inhumain. De plus, ce n’est pas un événement inhabituel. Environ 25% des fœtus avortés à la 16e ou 17e semaine vivent un temps plus ou moins long.
À présent, je suis à nouveau amenée à faire cela. J’avais décidé de ne plus jamais m’occuper d’une telle tâche. Suis-je maintenant obligée d’arrêter de travailler comme sage-femme ? Comment devrais-je agir ? Et si je suis obligée de me forcer à le faire à nouveau, que dois-je faire avec le fœtus quand il est vivant ?
J’ai lu dans la loi sur la protection des animaux comment tuer des chatons, des chiots ou d’autres petits animaux. Il y a des règles claires pour que la mise à mort soit faite d’une manière qui ne provoque pas l’anxiété ou de la douleur chez l’animal… »


Laisser des enfants agoniser sans soins, ou les tuer, simplement parce qu'ils ne sont pas désirés, est inhumain et contraire aux droits fondamentaux. Pourtant, le 19 novembre, le Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe a fait savoir qu’il estime que la pratique de l’infanticide néonatal ne relève pas de sa compétence et refuse de rencontrer des ONG désireuses de l’informer à ce sujet pour lui remettre un dossier exposant le sort des enfants nés vivants après un avortement. En juillet dernier, le Comité des ministres ne parvenait pas à se prononcer sur ce même sujet, certains gouvernements refusant de reconnaître les droits de ces enfants prématurés.
Le déni du Conseil de l’Europe

Pourtant, en droit européen, tout être humain né vivant a droit au respect de sa vie, de son intégrité physique et aux soins de santé, sans discrimination selon les circonstances de sa naissance.

Face à ce déni d’humanité, l’ECLJ appelle à saisir l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, selon sa procédure officielle de pétition, et invite toute personne à s’y associer en signant la pétition (ici) . Cette procédure permet à tout citoyen de demander à la présidente et au Bureau de l’Assemblée d’inscrire un sujet à l’ordre du jour.

Afin de donner du poids à notre demande auprès de l’Assemblée, l’ECLJ invite toute personne à s’associer à cette pétition, parce qu’il est urgent de dénoncer ces infanticides et d’y mettre fin.

Gregor Puppinck est directeur de l’ECLJ.

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(Source: Radiovatican)
Entretien - Un sujet tabou vient d’émerger sur la scène médiatique : celui de l’infanticide post-natal. Chaque année, plusieurs douzaines d’enfants naissent vivants lors d’avortements, en particulier quand ils sont pratiqués au-delà de la 20ème semaine de grossesse. Ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques. Quatre ong (the International Catholic Child Bureau, the World Union of Catholic Women’s Organisations, the Federation of Catholic Family Associations in Europe and the European Centre for Law and Justice) dont trois catholiques, ont décidé de dénoncer ces situations enregistrées dans de nombreux pays européens, dont la Grande Bretagne, l’Espagne ou encore l’Italie.

Le Centre européen pour la loi et la justice a lancé une pétition il y a quelques jours à l’attention de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe : Elle compte déjà 100 000 signatures. Le directeur de cette association basée à Strasbourg, Grégor Puppinck, affirme que le tabou de l’avortement doit selon lui être levé si l’on veut être en mesure d’en affronter les enjeux concrets.


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L’avortement tardif et les infanticides néonataux en Europe
             (Gregor Puppink - Bilan Juin 2015)

(plein écran: ici)


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"Les infanticides néonataux en Europe doivent être condamnés" 
                                                         Gregor Puppinck (eclj.org)
Quand le mépris du droit à la vie des nouveau-nés nous oriente vers une
                       " légitimisation de l'infanticide "
L’EUTHANASIE  DES NOUVEAU-NÉS ET  LE PROTOCOLE DE GRONINGEN
                                      (Institut Européen de Bioéthique)

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Fil d'actualité de Gregor Puppinck: ICI

. "Nations-Unies: lancement de la «Déclaration de Genève sur les soins périnatale» (+)
. "Les infanticides néonataux en Europe doivent être condamnés" Gregor Puppinck
. Conférence de Gregor PUPPINCK sur l'avortement et le statut
de l'embryon pour la CEDH
. Contrat d'Union Civil ? - "Europe: la famille diluée dans les
droits de l’homme"
. ONU : Grégor Puppinck dénonce les atteintes à la liberté des
consciences et de religion en Europe
. Mariage pour tous: Adoption puis PMA et GPA , l'effet domino
. La Cour européenne des Droits de l’homme impose l’adoption
homosexuelle
. PMA : la France a déjà voté...
. MariageGay - "Il n'existe pas de droit à l'adoption"
. DPI - Le Diagnostic préimplantatoire fait débat (31 Aout 2012)

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Vidéos :

L' initiative Citoyenne Européenne « Un de Nous » au parlement européen - Discours de Grégor Puppinck


VIDEO Intervention de Sophia Kuby sur le financement européen de l'avortement au titre de l'aide au développement (en français) : ICI

VIDEO Intervention du Professeur Filippo Vari sur le cadre juridique du financement européen de la recherche destructrice sur embryons humains (en français) : ICI

Article sur Aleteia

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autres articles du blog: 


"Les infanticides néonataux en Europe doivent être condamnés" 

                                                         Gregor Puppinck (eclj.org)
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L’EUTHANASIE  DES NOUVEAU-NÉS ET  LE PROTOCOLE DE GRONINGEN
                                      (Institut Européen de Bioéthique)

"Débat Derville-Le Mené : L’union est-elle possible dans la défense de la vie ?

"Les infanticides néonataux en Europe doivent être condamnés" Gregor Puppinck
Conférence de Gregor PUPPINCK sur l'avortement et le statut
de l'embryon pour la CEDH
La Commission met son veto à l’initiative citoyenne « UN DE NOUS » :
une décision contraire aux exigences éthiques et démocratiques
"Déclaration des Serviteurs de la vie" (Jérôme Lejeune)
L' Embryon, l' "UN DE NOUS" (One Of Us)
L' UE doit cesser de financer la recherche sur l' Embryon (15 dec 2011)
Pierre-Olivier Arduin - " - L' embryon non brevetable" ( 18 nov 2011 )
Bonne nouvelle pour l' Embryon ! - AFC ( 18 nov 2011)
Tugdual Derville - " l' embryon définit" ( 28 oct 2011 )
Xavier Mirabel - " Cour Européenne et embryon " ( 25 oct 2011 )
Arrêt de la Cour européenne de justice : définition de "l’embryon humain"
Jean-Marie Le Méné : « Hors de question de passer impunément par-dessus le respect de la vie humaine »
L'embryon humain ne peut être considéré comme un simple matériau de recherche 




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(Fond Lejeune 29 Janvier 2014)
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dans quatre pays européens (29 Aout 2012)
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Traiter la trisomie 21 : L'ère des essais clinique (1er Mars 2012)
Dépistage précoce de la trisomie 21 (allianceVita -19 Dec 2011 )
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